Bourgogne (2ème partie)

 

La Côte de Beaune et la Côte Chalonnaise,

deux destins contrastés, entre prestige et discrétion


Présentation visuelle

Depuis la partie sud de la Côte d’Or jusqu’aux frontières du Mâconnais, cette soirée présente deux visages bourguignons contrastés. Le prestige de la Côte de Beaune, tant pour sa production de vins blancs (Meursault, Chassagne-Montrachet, Puligny-Montrachet…) que de vins rouges (Aloxe-Corton, Pommard, Volnay…), fait face à la relative discrétion de la Côte Chalonnaise, dont les noms nous sont pourtant familiers : Rully, Givry, Mercurey, Montagny

  • La Côte de Beaune, à laquelle le puissant centre névralgique et oenotouristique de la ville de Beaune a donné son nom, ne sait quelle couleur de vin mettre en avant, tant sa richesse est grande. Si les vins rouges attirent les amateurs du monde entier, de très grandes émotions sont à attendre de la dégustation de ses grands vins blancs, dont la qualité d’expression du cépage chardonnay ne se retrouve nulle part ailleurs.

 

  • La Côte Chalonnaise semble rester dans l’ombre des prestigieux terroirs du nord de la Côte d’Or. Elle a pourtant de solides atouts à présenter, dans les deux couleurs de vins.

 


 
Dégustation

Quatre crus emblématiques de la Côte de Beaune seront dégustés, accompagnés, à l’aveugle, de 2 crus de la Côte Chalonnaise (1 blanc et 1 rouge). Gageons que cette dégustation vous donnera l’envie d’explorer plus en détail ces terroirs d’exception.